Le religieux a moins besoin de
pain pour conserver la vie du corps, que de patience pour conserver la
vie de l'âme : c'est, en effet, par la patience qu'il mérite la vie
éternelle; et il n'arrive que trop que la nourriture du corps contribue à
lui faire perdre cette vie éternelle.
saint Jean Climaque : L'Échelle sainte
« Du repos sacré du corps et de l'âme, ou de la vie érémitique et solitaire » (О священном безмолвии души и тела/ XXVII)
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