Il est bien
pénible pour une personne dévorée par les ardeurs d'une soif brûlante
de se voir enlever l'eau dont elle allait se désaltérer; mais il est
bien plus cruel pour une âme qui prie avec de grands sentiments de
componction d'être obligée d'interrompre son union et sa conversation
avec Dieu, lesquelles lui faisaient goûter tant de douceurs et de
consolations et qu'elle avait désirées avec une si grande ardeur.
« De la prière, sainte et féconde source de vertus; du recueillement de l'esprit et du repos du corps qui lui sont nécessaires. » (О матери добродетелей, священной и блаженной молитве, и о предстоянии в ней умом и телом/ XXVIII
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