Les voitures n'avaient ni ceintures de sécurité, ni appuie-tête, ni airbag, ni GPS. Sur le siège arrière on se marrait, on dormait, on discutait avec les parents posés entre les deux sièges... et ce n'était pas dangereux.
Les lits à barreaux et les jouets étaient multicolores ou au minimum peints avec des laques « douteuses » contenant plomb ou autre poison.
Il n'y avait pas de sécurité enfants sur les portes de voitures, sur les prises de courant, encore moins sur les médicaments ou autres nettoyants chimiques domestiques. Les parents les planquaient, c'est tout.
Il n'y avait pas de casque pour faire du vélo.
On buvait à même le tuyau d'arrosage et pas des eaux minérales en bouteilles dites « stériles ».
On osait aller jouer... fallait juste rentrer à la maison avant la nuit, il n'y avait pas de portables, et personne ne savait ou on traînait! Éraflures, bras cassés, dents brisés, coudes écorchés, personne ne se serait plaint ou aurait déposé plainte contre la mairie ou autre, personne n'avait tort si ce n'était nous-mêmes.
Si on croisait quelqu'un de plus âgé, on utilisait des mots qui ne doivent plus être dans le dictionnaire, puisqu'on ne les utilise plus : « bonjour, merci, s'il-vous-plaît ».
On avalait des sucreries, du pain beurré avec du chocolat, des boissons riches en sucre... on ne parlait pas d'obésité et nous étions actifs. on se partageait à quatre une limonade au goulot, nul n'en est mort.
Pas de PlayStation, Nintendo, Facebook ou Twitter, Home cinéma, TV 150 chaînes, portable, tablette ou ordinateur... seulement des copains : à pied ou à vélo, on allait chez les copains, même s'ils habitaient à des km, on entrait sans frapper, et on allait s'amuser. On jouait au foot avec une seule cage, et si on perdait — pas de frustration, ni de fin du monde.
Il y avait bien des élèves un peu "retardés" qui redoublaient, mais personne n‘allait chez le psychologue ou psychopédagogue. On ne parlait pas de dyslexie, de problèmes de concentration ou d'hyperactifs, on redoublait simplement l'année et chacun avait sa chance.
Nous avions : liberté, revers, succès, devoirs, et on faisait avec.
On ne parlait pas sans cesse de droit, car nous savions qu'il y avait avant tout des devoirs.
Il y avait bien des Hygiaphones, mais pas encore de masques...
On a survécu... »
Avant, les enfants pouvaient aller faire du vélo sans devoir porter 50 casques ou genouillères et jouer aux cowboys et aux indiens ou - horresco referens - aux Bleus et aux Gris, avec des armes en plastique sans passer pour des criminels contre l'humanité. Mais c'était avant quand les choses étaient plus simples.
RépondreSupprimerAutrement, les masques tels que certains politiciens aussi incompétents que menteurs nous les imposent ne servent en effet à rien contre un virus; Le "gouvernement" disait alors - bien involontairement - la vérité. les filtres sont simplement trop gros. Faire croire que ce type de masque peut stopper un virus revient à faire croire qu'un gilet pare-balles peut stopper une ogive de .50 BMG.