Que celui qui s'est retiré du monde afin de se décharger du fardeau de ses péchés imite les gens qu'on voit aux abords des villes assis devant les tombes : qu'il ne cesse de répandre des larmes brillantes et enflammées et de gémir silencieusement dans son cœur, jusqu'à ce qu'il voie Jésus venir à lui, écarter de son cœur la pierre de l'endurcissement, délivrer son intellect, comme un autre Lazare, des bandelettes du péché et commander aux anges, ses ministres : « Déliez-le de ses passions et laissez-le aller vers la bienheureuse impassibilité. » S'il n'agit pas ainsi, sa retraite ne lui servira de rien.
« Du renoncement » (Об отречении от жития мирского)
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