Lorsque nous avons renoncé au monde, les démons nous incitent à
féliciter les séculiers qui peuvent y exercer la miséricorde et la
compassion, et à nous blâmer de ne pas pratiquer nous-mêmes une
semblable vertu. Le dessein de nos ennemis est de nous pousser, par
cette fausse humilité, à retourner dans le monde, ou de nous précipiter
dans le désespoir, si nous persévérons dans l'état monastique.
« De la Nécessité de se dépouiller des affections et des soins pour les choses de ce monde » (О беспристрастии, то есть, отложении попечений и печали о мире)
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