L'homme qui en est arrivé à détester le monde a échappé à la tristesse. Mais celui qui est attaché à quoi que ce soit de visible n'est pas encore délivré de la tristesse. Car comment ne pas s'attrister si l'on est privé de ce qu'on aime?
« De la Nécessité de se dépouiller des affections et des soins pour les choses de ce monde » (О беспристрастии, то есть, отложении попечений и печали о мире)
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