Le temps de ma vie ne me suffirait pas, père saint, et vous, assemblée aimée de Dieu, pour vous décrire les vertus et la vie toute céleste de ces bienheureux. Il vaut mieux cependant que j'embellisse le discours que je vous adresse et que je vous éveille à la ferveur dans l'amour de Dieu par le récit de leurs travaux et de leurs sueurs, plutôt que par mes pauvres exhortations; puisque, sans contredit, « c'est le moindre qui est orné par le meilleur », je ne vous demande qu'une chose : n'allez pas me soupçonner d'écrire rien de faux; car ordinairement, la défiance empêche tout profit.
« De la bienheureuse et toujours louable Obéissance » (О блаженном и приснопамятном послушании)
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