Si, en l'absence du supérieur, nous représentant les traits de son
visage, nous pensons qu'il est toujours présent à nos côtés, et évitons
toute rencontre, toute parole, toute nourriture ou tout sommeil, ou toute
autre chose que nous supposons devoir lui déplaire, alors nous possédons
la véritable obéissance. Les enfants bâtards regardent comme une joie
l'absence du maître, mais les enfants légitimes l'estiment une perte.
« De la bienheureuse et toujours louable Obéissance » (О блаженном и приснопамятном послушании)
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