Si quelqu'un a accepté de son père spirituel, sans y être forcé, un
office, et s'il tombe en quelque faute en s'en acquittant, qu'il en
attribue la responsabilité non à celui qui a donné l'arme, mais à celui
qui l'a reçue : elle lui a été remise en effet pour combattre l'ennemi,
et il l'a tournée contre son propre cœur. Mais s’il s'est fait violence
pour le Seigneur (en acceptant cette tâche), et s’il a fait connaître à
l'avance sa faiblesse à celui qui la lui imposait, qu'il prenne courage :
car il est tombé, mais il n'est pas mort.
« De la bienheureuse et toujours louable Obéissance » (О блаженном и приснопамятном послушании)
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