Le démon combat ceux qui font profession d'obéissance, tantôt en les
souillant par des souillures charnelles et en endurcissant leur cœur,
tantôt en provoquant en eux un trouble inhabituel; tantôt encore, en les
rendant secs et stériles, gourmands, indolents pour la prière, portés au
sommeil et plongés dans les ténèbres. Ceci pour les arracher à leur
combat, en leur suggérant qu'ils ne tirent aucun profit de leur
obéissance, mais reculent au contraire. Car il ne leur permet pas de
comprendre que souvent la soustraction providentielle de ce qui, en nous,
nous paraissait bon, nous procure une très profonde humilité.
« De la bienheureuse et toujours louable Obéissance » (О блаженном и приснопамятном послушании)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire