mardi 19 octobre 2021

froid dans le dos



et aussi : Métropolite Paul de la Laure de Kiev — confession d'un assassin ayant exécuté 56 personnes (en russe) :

1 commentaire:

  1. En fait, le rapport "Sauvé" est bidon.
    Le « rapport Sauvé » d’Octobre 2021 qui met en accusation l’Église Catholique en citant le chiffre de « 216000 victimes » de 1950 à 2020, est simplement fantaisiste et ressemble beaucoup à l’étude bidon du Lancet sur la Chloroquine, à savoir un montage pour manipuler les foules, autant de la part d’une frange catholique progressiste et relativiste que d’officines philosophiques athées. Un rapport sans aucune méthodologie claire ni sérieuse, pour lequel la définition même d’« acte pédophile » reste plus que vague, qui veut en faire trop, trop prouver et qui finit par se prendre les pieds dans son propre tapis. En fait, la date de « 1950 » est choisie pour tenter, de la part de l’Église Catholique moderniste actuelle, de noyer le poisson sur la rupture causée par Vatican II dans le choix et la surveillance des vocations de prêtres. Et le chiffre de « 216000 » ne regroupe pas 216000 affaires judiciaires, pas 216000 noms mais une simple extrapolation spéculative d’un sondage mal fait, sur un échantillon peu clair...Le rapport de la CIASE mentionne (p. 10 et 11 de la synthèse) avoir sollicité l’assistance de l’INSERM et de l’IFOP, pour un sondage en ligne (1628 questionnaires complétés, ayant donné lieu à 69 entretiens) et une enquête en population générale (échantillon de 28 010 personnes). Les extrapolations générales se sont faites sur la base de ces enquêtes. Pour arriver, sur la base de sondage IFOP (?) au chiffre de 216.000 victimes, Mr Sauvé avoue qu’il n’a interrogé que 243 d’entre elles et reçu 2.819 courriers. On se demande d’ailleurs où et comment il aurait pu choisir, sélectionner un «échantillon» de Catholiques représentatif d’une telle période de temps qui s’étend tout de même sur près de 70 ans...Si les chiffres, comme dans tout enjeu, ne portent pas toute la réalité d’un fait, ils en portent quand-même une partie et sont très utilisés pour être vecteurs d’une charge émotionnelle forte, annulant toute réflexion et toute critique. Pour cela, il est important en toute chose, certes de ne pas se limiter à eux, mais de savoir les étudier, les analyser et les authentifier ou les infirmer. Ce rapport masque aussi que l’essentiel des faits qu’il prétend dénoncer concernent en grosse majorité des victimes masculines, beaucoup plus rarement des jeunes filles. C’est donc un problème de pédophilie et d’éphébophilie homosexuelle, ce qui peut en revanche très bien se mesurer sur les affaires judiciaires identifiées. Par ailleurs, ce « rapport » fut en partie, pour sa partie INSERM, réalisé par Nathalie Bajos, anti-chrétienne notoire, « sociologue » responsable de l’« équipe genre »...Donc, on se retrouve en fait devant une imposture aussi manifeste que le faux récit « the awful disclosure s of Maria Monk » qui fuela le sentiment anticatholique au Canada en 1836, sur une base qui fut prouvée comme mensongère...
    En fait, n'importe quel parent prend bien plus de risques avec l'"éducation" "nationale" ou la "justice des mineurs" qu'avec l'Eglise Catholique.

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