Je me rendis donc au monastère des pénitents, cette véritable terre de ceux qui pleurent. Et là je vis vraiment, si j'ose dire, ce que l'œil de l'homme insouciant ne vit jamais, ce que l'oreille du paresseux n'entendit jamais, ce qui ne monta jamais au cœur de l'homme lâche. J'y vis des actions et des paroles capables de faire violence à Dieu, des activités et des attitudes capables de toucher aussitôt son amour pour les hommes.
« De la véritable et sincère Pénitence » (О попечительном и действительном покаянии и также о житии святых осужденников, и о темнице)
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