L'insensibilité du cœur endurcit l'intellect, l'abondance de nourriture dessèche la source des larmes. La soif et les veilles affligent le cœur, et quand le cœur est affligé, les larmes jaillissent. Ce que je viens de dire paraîtra dur aux gourmands et incroyable aux lâches : mais un homme actif s'y essaiera avec promptitude; celui qui en aura fait l'expérience en sourira. Mais celui qui en est encore à chercher, n'en retirera que tristesse.
« De la pensée de la mort » (О памяти смерти)
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