Un moine égyptien me raconta un jour ceci : « Après que j'eus gravé dans la sensibilité de mon cœur le souvenir de la mort, je voulus un jour, le besoin s'en étant fait sentir, donner quelque soulagement à ce corps de boue ; mais ce souvenir, comme un juge, m'en empêchait; et, chose étonnante, bien que j'aie voulu le chasser, je ne pouvais y parvenir.
« De la pensée de la mort » (О памяти смерти)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire