Dans le cas des larmes, aussi bien que pour tout le reste, notre bon et juste juge tient compte des forces de notre nature. J'ai vu en effet verser quelques larmes avec autant de peine que des gouttes de sang, et j'ai vu aussi des torrents de larmes qui coulaient sans peine. Et j'ai jugé ces travailleurs non sur l'abondance de leurs larmes, mais d'après la peine qu'ils prenaient. Et je pense que Dieu fait de même.
« De la tristesse qui produit la Joie » (О радостотворном плаче)
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