Quand je considère la nature de la componction, je suis frappé
d'étonnement : comment ce qu'on nomme affliction et tristesse peut-il
contenir, caché dans son sein, tant de joie et d'allégresse, comme le rayon de
cire renferme le miel ? Quelle leçon devons-nous donc en tirer ? C'est
qu'une telle componction doit être reconnue, d'une façon très spéciale,
comme un don du Seigneur. Il n'y a plus alors dans l'âme ce plaisir sans
plaisir véritable, mais Dieu console d'une manière secrète le cœur
brisé.
« De la tristesse qui produit la Joie » (О радостотворном плаче)
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